top of page

Tierce
 

Psalmodie après la communion

​

PSAUME 118 (h 119) – XX-XXII

 

XX

 

Vois ma misère et délivre-moi ! *

    je n'ai pas oublié ta Loi.

Défends ma cause, sois mon rédempteur, *

    rends-moi la vie, selon ta Promesse !

Le salut est bien loin des impies, *

    car ils négligent tes Préceptes.

Seigneur, ta tendresse est immense ; *

     rends-moi la vie, selon tes Sentences !

Contre moi, les persécuteurs sont légion ; *

     je ne dévie pas de tes Volontés.

La vue des renégats me révolte *

     ils n'observent pas ton Message.

Vois mon attachement pour tes Ordres ! *

     Selon ton amour, donne-moi de vivre !

Ornement de ta Parole, sa vérité ! *

     Ils sont tous éternels, tes justes Edits.

 

XXI

 

Les puissants me persécutent sans raison, *

     mais mon coeur ne frémit qu'à ta Parole.

Je suis rempli de joie par tes Promesses, *

     comme à découvrir un trésor.

L'infidélité me fait horreur : je la déteste ; *

     je demeure attaché à ta Loi.

Sept fois le jour, je chante ta louange, *

     je te loue pour tes justes Sentences.

Grande est la paix de qui aime ta Loi ; *

     rien n'est pour lui danger de chute.

Seigneur, je mets mon espoir en ton salut ; *

     tes Commandements, je les accomplis.

J'observe tes Volontés de toute mon âme, *

     je leur suis profondément attaché.

J'observe tes Ordres et tes Volontés ; *

     toute ma conduite est devant toi.

 

XXII

 

Que mon appel, Seigneur, arrive en ta présence ! *

     Selon ta Parole, donne-moi l'intelligence !

Que ma supplication parvienne jusqu'à toi ! *

     Délivre-moi, selon ta Promesse !

Que mes lèvres proclament ta louange ! *

     Tu m'as enseigné tes Préceptes.

Que ma langue célèbre ton Message ! *

    Tous tes Commandements sont justes.

Que ta main vienne à mon secours ! *

    J'ai choisi de suivre tes Ordres.

Mon désir, Seigneur, est tendu vers ton salut ; *

    ta Loi fait mes délices.

Que je vive et chante ta louange ! *

    Le secours me viendra de tes Sentences.

Je m'égarais, j'étais une brebis perdue : *

    viens chercher ton serviteur !

 

Non, je n'oublie pas tes Commandements.

bottom of page