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Office des Vigiles

21 août : Mémoire de Saint Pie X, Pape

​

 

Introduction 

 

V/ Dieu viens à mon aide

R/ Seigneur à notre secours.

 

Gloire au Père et au Fils et au Saint Esprit

au Dieu qui est, qui était et qui vient,

pour les siècles des siècles. Amen. Alléluia 

 

 

Hymne

 

Christe, pastorum caput atque princeps, 

gestiens huius celebrare festum, 

debitas sacro pia turba psallit 

carmine laudes.

 

O Christ, de nos pasteurs et la tête et le prince, 

nous voulons aujourd’hui célébrer un pasteur : 

ton peuple saint entonne avec reconnaissance 

le chant de sa louange

 

Quas oves Petro dederas, ovile 

orbis ut totus fieret sacratum, 

hic tuo mutuo positus supremo, 

culmine rexit.

 

Tu avais confié à Pierre tes brebis, 

afin de consacrer le monde en un bercail : 

porté par ton pouvoir sur le siège suprême, 

il les a dirigées.

 

Hic gregis ductor fuit atque forma, 

lux erat caeco, misero levamen, 

providus cunctis pater omnibusque 

omnia factus.

 

Pour son troupeau, il fut un guide et un modèle, 

soutien du malheureux, lumière de l’aveugle : 

il fut pour tous les siens un père secourable, 

s’étant fait tout à tous.

 

Christe, qui sanctis meritam coronam 

reddis in caelis, docili magistrum 

fac sequi vita, similique tandem 

fine potiri.

 

O Christ, qui de tes saints couronnes les mérites 

dans les cieux, donne-nous de le suivre ici-bas 

comme un maître de vie, et d’obtenir enfin 

la même part que lui.

 

Aequa laus summum celebret Parentem 

teque, Savator, pie rex, per aevum 

Spiritus Sancti resonet per omnem 

gloria mundum.

 

Qu’une même louange à jamais  vous célèbre 

Toi, Père, le Très-Haut, et toi, Sauveur, bon roi 

et que résonne ainsi dans l’univers entier, 

la gloire de l’Esprit. Amen

 

1er nocturne

 

Psaume 98 (h 99)

 

Le Seigneur est roi : les peuples tremblent ; 

il trône sur les chérubins : la terre frémit.

En Sion, le Seigneur est grand ;

il s'élève au-dessus de tous les peuples.

Célébrez son Nom, grand et redoutable, 

car il est saint !

Il triomphe, le roi qui aime la justice ; 

oui, c'est toi qui as fondé le droit ; 

tu établis en Jacob la justice et l'équité.

Exaltez le Seigneur, notre Dieu, † 

prosternez-vous au pied de son trône, * 

car il est saint !

Voyez Moïse et Aaron parmi ses prêtres,

et Samuel parmi ceux qui invoquaient son Nom !

Ils invoquaient le Seigneur et lui leur répondait ; 

dans la colonne de nuée, il leur parlait.

Ils observaient ses volontés, la loi donnée par lui ; 

et tu les exauçais, ô Seigneur, notre Dieu !

Tu t'es montré à leur égard un Dieu patient, 

sans manquer pourtant de punir leurs fautes.

Exaltez le Seigneur, notre Dieu ; † 

prosternez-vous devant sa sainte montagne ! * 

car il est saint, le Seigneur notre Dieu.

 

Psaume 93

 

Seigneur, Dieu qui fait justice,   

toi, le Dieu vengeur apparais !

Dresse-toi, Juge de la terre,  

inflige aux orgueilleux leur châtiment!

Combien de temps ces impies, Seigneur,   

combien de temps vont-ils donc triompher?

Ils débitent leurs discours arrogants,  

ils plastronnent, tous ces criminels.

C’est ton peuple, Seigneur, qu’ils écrasent;  

ils oppriment ceux qui t’appartiennent.

Ils assassinent la veuve et l’étranger,   

ils massacrent les orphelins.

A les en croire, le Seigneur ne s’en aperçoit pas    

le Dieu de Jacob ne  remarque rien.

Comprenez donc, vous, stupides entre tous,    

gens bornés, quand réfléchirez-vous?

Lui qui a formé l’oreille, il n’entendrait pas ?

Il a façonné l’oeil, et il ne verrait pas ?

Il a châtié des peuples et ne punirai pas ?

Il a enseigné l’homme et ne connaîtrait rien ?

Le Seigneur connaît les pensées de l’homme :  

il sait qu’elles sont vaines.

Heureux l’homme que tu reprends, Seigneur,  

celui que tu enseignes par ta loi !

Tu veux lui épargner les jours de malheur,   

alors que, pour l’impie, s’ouvre l’abîme

Car le Seigneur ne délaisse pas son peuple ;   

il n’abandonne pas ceux qui lui appartiennent.

De nouveau l’autorité se réglera sur la justice ;   

tous les hommes au coeur droit s’y rallieront.

Qui me défendra contre les méchants,   

qui m’assistera face aux criminels ?

Si le Seigneur ne m’avait secouru,   

j’aurais déjà rejoint le pays du silence. 

Quand je m’écriais: « Je vais tomber ! »,   

ton amour, Seigneur, m’a soutenu.

Dans l’excès des soucis dont j’étais envahi,   

tes consolations m’ont apporté la joie.

Te ferais-tu l’allié d’un pouvoir corrompu,  

un pouvoir oppresseur sous le couvert du droit ?

On s’attaque à la vie du juste ;   

l’innocent on le condamne à mort.

Mais le Seigneur s’est fait ma forteresse,    

et mon Dieu, le rocher de mon  refuge.

Il fait retomber sur eux leur méfait,  

et les anéantit sous leur propre malice ;   

il les anéantit, le Seigneur notre Dieu.

 

Psaume 100 (h 101)

 

Je veux célébrer Justice et Bonté ;

à toi, Seigneur, j'adresse mon chant.

Je m'applique à suivre la voie parfaite ; 

quand viendras-tu vers moi ?

D'un coeur parfait, je règle ma conduite, † 

parmi les gens de ma maison ;

je n'ai pas un regard pour de vilains projets.

J'ai en horreur qui agit mal ; †

il n'a rien de commun avec moi ; *

le pervers s'écarte de moi ; le méchant, je l'ignore.

Si un homme, en secret, calomnie son prochain, †

je le réduis au silence ; *

je n'admets ni regards hautains, ni coeurs gonflés d'orgueil.

J'arrête mes yeux sur les hommes loyaux du pays, †

pour les établir auprès de moi ; *

quiconque suit la voie parfaite, je le prends à mon service.

Mais point de place pour l'homme perfide, † 

parmi les gens de ma maison ; *

impossible au menteur de rester en ma présence.

Chaque jour, je m'attaque aux méchants du pays ; † 

je les réduis à l'impuissance ; * 

de ces criminels, je débarrasse la cité de Dieu.

 

Psaume 101

 

Seigneur écoute ma prière ;

que mon cri parvienne jusqu’à toi !

Ne me cache pas ton visage,         

au jour où l’angoisse m’étreint !

Tends l’oreille vers moi au jour où je t’appelle,      

et vite exauce-moi !

Mes jours s’évanouissent comme une fumée ;      

le feu de la fièvre a brûlé mes os ;

Mon cœur est pareil à l’herbe flétrie ;     

 je ne pense même plus à manger ;

à force de rester à gémir,     

 je n’ai plus que la peau sur les os.

Je ressemble à l’oiseau du désert ;     

je suis pareil au hibou dans les ruines ;

je ne peux dormir et je reste solitaire,   

comme un passereau sur un toit.

Tout le jour mes ennemis m’outragent ;     

dans leur fureur, ils m’accablent de malédictions.

La cendre est le pain que je mange ;      

je mêle à ma boisson mes larmes.

Je subis ta colère et ton courroux :   

tu m’as saisi et rejeté.

Mes jours déclinent comme une ombre      

et je suis pareil à l’herbe qui sèche ;

Mais toi, Seigneur, tu trônes à jamais ;     

on invoquera ton Nom d’âge en âge.

Toi, tu te lèveras, attendri pour Sion :   

il est temps de la prendre en pitié ;  

car tes serviteurs en chérissent les pierres ; 

ils s’apitoient sur ses décombres.

Alors les nations craindront ton Nom, Seigneur,   

et tous les rois de la terre, ta gloire ;   

quand le Seigneur rebâtira Sion      

et qu’il apparaîtra dans sa gloire ;    

quand il se tournera vers les déshérités,    

ne voulant pas dédaigner leur prière.

Que cela soit écrit pour les âges futurs ;    

alors un peuple sera créé qui louera le Seigneur :     

des hauteurs de son sanctuaire, il a regardé ;   

des cieux le Seigneur a observé sur terre,   

afin d’écouter la plainte des captifs    

et de libérer ceux qui allaient mourir,    

pour que soit proclamé dans Sion le Nom du Seigneur      

et sa louange dans Jérusalem,     

quand peuples et royaumes se rassembleront,      

unis pour servir le Seigneur.

Mais il a brisé ma vigueur en chemin ;     

 il a réduit le nombre de mes jours :

« Mon Dieu : ne m’enlève pas au milieu de mes jours,     

toi dont les années continueront dans tous les siècles !

Autrefois tu as fondé la terre ;       

le ciel aussi est l’œuvre de tes mains ;     

ils disparaîtront, mais toi, tu demeures ;    

tout va s’user comme un vêtement ;     

comme on change un manteau, ils passeront quand tu voudras ; 

mais toi, tu restes le même et tes années n’ont pas de fin.  

Les fils de tes serviteurs habiteront leur pays     

et leur postérité s’affermira devant ta face. »

 

 

Lecture biblique : Ephésiens 3, 1-13

 

Moi, Paul, qui suis en prison à cause du Christ Jésus, je le suis pour vous qui venez des nations païennes.

02 Vous avez appris, je pense, en quoi consiste la grâce que Dieu m’a donnée pour vous :

03 par révélation, il m’a fait connaître le mystère, comme je vous l’ai déjà écrit brièvement.

04 En me lisant, vous pouvez vous rendre compte de l’intelligence que j’ai du mystère du Christ.

05 Ce mystère n’avait pas été porté à la connaissance des hommes des générations passées, comme il a été révélé maintenant à ses saints Apôtres et aux prophètes, dans l’Esprit.

06 Ce mystère, c’est que toutes les nations sont associées au même héritage, au même corps, au partage de la même promesse, dans le Christ Jésus, par l’annonce de l’Évangile.

07 De cet Évangile je suis devenu ministre par le don de la grâce que Dieu m’a accordée par l’énergie de sa puissance.

08 À moi qui suis vraiment le plus petit de tous les fidèles, la grâce a été donnée d’annoncer aux nations l’insondable richesse du Christ,

09 et de mettre en lumière pour tous le contenu du mystère qui était caché depuis toujours en Dieu, le créateur de toutes choses ;

10 ainsi, désormais, les Puissances célestes elles-mêmes connaissent, grâce à l’Église, les multiples aspects de la Sagesse de Dieu.

11 C’est le projet éternel que Dieu a réalisé dans le Christ Jésus notre Seigneur.

12 Et notre foi au Christ nous donne l’assurance nécessaire pour accéder auprès de Dieu en toute confiance.

13 Aussi, je vous demande de ne pas vous décourager devant les épreuves que j’endure pour vous : elles sont votre gloire.

 

Répons

 

R/ br. Domine exaudi orationem meam

V/ Et clamor meus, ad te veniat

V/ Gloria Patri et Filio et Spiritui Sancto, alleluia, alleluia.

 

R/ br Les disciples furent remplis de joie , alléluia, alléluia

V/ à la vue du Seigneur, alléluia, alléluia

V/ Gloire au Père et au Fils et au Saint Esprit, alléluia, alléluia.

 

 

2ème nocturne

 

Psaume 103 

 

Bénis le Seigneur, ô mon âme! 

Seigneur, mon Dieu, tu es si grand !

Vêtu de splendeur et de majesté,

tu t'es drapé du manteau de la lumière.

Tu déployas le firmament comme une tente ; 

sur les eaux du ciel tu construis ta demeure.

Lorsque tu fais des nuées ton char, 

tu t'avances sur les ailes du vent ;

tu prends les vents pour messagers,

pour serviteurs, les flammes de la foudre.

Tu as fondé la terre sur ses bases

tu l'as rendue pour toujours inébranlable.

Comme un manteau, l'abîme la couvrait,

les eaux s'étendaient au-dessus des montagnes ;

mais à ta menace, elles prirent la fuite, 

se précipitant, effrayées par ton tonnerre,

franchissant les montagnes et se ruant dans les vallées, 

elles gagnaient le lieu que tu avais fixé ;

tu leur imposes une limite à ne pas franchir : 

elles ne reviendront pas couvrir la terre.

Dans les ravins tu fais jaillir les sources ; 

l'eau chemine entre les montagnes ;

elle abreuve toutes les bêtes des champs ; 

l'âne sauvage vient s'y désaltérer ;

au bord de l'eau séjournent les oiseaux ; 

dans les feuillages on les entend chanter.

Tu répands l'eau du ciel sur les montagnes ; 

du bienfait de ta pluie se rassasie la terre ;

tu fais pousser l'herbe pour le bétail

et les plantes pour l'usage des hommes ;

tu donnes à la terre de produire le pain

et le vin qui rend joyeux le coeur de l'homme,

l'huile qui fait rayonner les visages

et le pain qui fortifie le coeur de l'homme. 

Les arbres du Seigneur regorgent de sève, 

les cèdres du Liban qu'il a plantés ;

les oiseaux y font leur nid ;

sur leur cime habite la cigogne ;

aux chèvres sauvages, les hautes montagnes; 

aux rongeurs, le creux des rochers.

Tu fis la lune pour marquer les temps 

et le soleil qui se couche à son heure.

Tu étends les ténèbres et voici la nuit ; 

toutes les bêtes de la forêt s'agitent ;

le lion rugit, cherchant sa proie, 

réclamant à Dieu sa nourriture ;

quand paraît le soleil, ils rentrent tous, 

chacun va se coucher dans sa tanière;

et l'homme sort pour son travail : 

il accomplit sa tâche jusqu'au soir.

Quelle profusion, Seigneur, dans tes oeuvres ! 

Tu as tout fait avec sagesse ; * 

la terre est remplie de tes créatures.

Voici la mer immense où voguent les navires 

quelle innombrable multitude s'y agite !

Tous ces animaux, des petits jusqu'aux grands, 

et Léviathan, lui que par jeu tu as formé.

Tous les êtres sont tournés vers toi,

dans l'espoir que tu leur donnes en temps voulu leur nourriture ;

tu leur donnes : ils n'ont qu'à recueillir ; 

tu ouvres la main : ils sont comblés ;

mais as-tu caché ton visage ? Alors c'est l'effroi ; † 

tu leur reprends le souffle : ils expirent ; * 

à la poussière dont ils viennent, ils retournent ;

envoie de nouveau ton souffle et tout renaît : 

tu renouvelles la face de la terre.

Gloire au Seigneur à tout jamais !

Que le Seigneur se complaise en ses oeuvres !

Quand il regarde la terre, elle tremble ;

dès qu'il touche aux montagnes, elles s'embrasent.

Je veux chanter au Seigneur toute ma vie, 

célébrer mon Dieu tant que j'existerai ;

puisse mon cantique lui plaire ;

je trouve tant de joie dans le Seigneur !

Que les pécheurs disparaissent de la terre ; 

que cessent d'exister les impies !

 

Bénis le Seigneur, ô mon âme !

 

 

Lecture patristique : 

 

PIE X

AU SERVICE DE LA VÉRITÉ

 

 

Puisque Dieu a jugé bon, dans ses desseins mystérieux, de nous imposer la charge de l'apostolat suprême, nous la porterons, en nous confiant uniquement dans le secours de son assistance. Autant qu'il dépendra de nous, nous sommes fermement résolus à faire converger tous nos soins et toutes nos pensées vers ce but : conserver inviolable et sacré le dépôt de la foi et pourvoir au salut éternel de tous. Dans ce dessein, nous ne nous épargnerons aucun labeur, nous ne reculerons devant aucune épreuve.

Mission sublime que la nôtre, puisque par-delà ce monde passager, elle vise les biens immortels ; nulle frontière ne l'enserre ; elle doit embrasser les intérêts de l'univers, assurer de toutes manières le respect des préceptes évangéliques, étendre enfin Notre sollicitude non seulement aux fidèles, mais à tous les hommes pour qui le Christ est mort.

Tout restaurer dans le Christ, tel est, nous l'avons dit, Notre programme. Et, comme le Christ est Vérité, notre premier devoir est d'enseigner et de proclamer la vérité. Aussi ferons-nous en sorte que la parole toujours simple, lucide et pratique de Jésus-Christ, coule de nos lèvres, pénètre profondément dans les âmes et y soit saintement gardée.

Notre fonction est donc de défendre la vérité et la foi chrétienne. C'est par un sentiment inné que l'homme assoiffé de vérité se porte vers elle et, dès qu'elle lui est offerte, l'embrasse amoureusement et la retient en lui. Et pourtant, il arrive, par un vice de notre nature, que bien des gens ne détestent rien tant que d'apprendre la vérité : c'est qu'elle révèle leurs erreurs et flagelle leurs passions. Tous ces hommes nous lanceront injures et menaces. Nous n'en serons pas troublés : ne sommes-Nous pas soutenus par l'avertissement de notre Seigneur : "Si le monde vous hait, souvenez-vous qu'il m'a haï avant vous".

Mais si nous avons entrepris un combat nécessaire pour la vérité, nous éprouvons pour les adversaires de la vérité une compassion très vive. Nous les entourons d'une affection profonde et les recommandons avec larmes à la bonté divine. Approuver et défendre la vérité, la justice, le bien, rejeter et flétrir l'erreur, l'injustice, le mal, c'est une règle sacrée du pontificat romain. Mais c'en est une aussi de répandre sur les pécheurs des trésors de miséricorde et de pardon, pour imiter le fondateur de l'Église qui pria pour les transgresseurs de la loi. En effet, Dieu qui, par le Christ se réconciliait tous les hommes, a choisi principalement les Pontifes romains pour prolonger à jamais le ministère de sa réconciliation ; cette réconciliation, c'est donc à l'autorité et au jugement des papes qu'il faut la demander.

Nous ne nous flattons pas de pouvoir accomplir ce que nos prédécesseurs n'ont pu faire, c'est-à-dire établir sur les erreurs et les injustices répandues en tout lieu, le triomphe universel de la vérité, et pourtant c'est à cette oeuvre que nous consacrerons tous nos efforts.

 

 

Oraison

 

Seigneur Dieu, +
pour sauvegarder la foi catholique,
et récapituler toutes choses dans le Christ,

tu as comblé le pape saint Pie X

de sagesse divine et de courage apostolique ; *

accorde-nous de suivre ses instructions et ses exemples /

pour obtenir l’éternelle récompense.

Par Jésus Christ, ton Fils, notre Seigneur, +

qui vit et règne avec toi dans l’unité du Saint-Esprit, /
Dieu, pour les siècles des siècles.

 

 

Conclusion

 

Bénissons le Seigneur

Nous rendons grâce à Dieu

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